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Section : Catalogue des Cours Sanitaires et Sociaux

Section : Catalogue des Cours Sanitaires et Sociaux

Catalogo Area Socio Sanitario

Exemples de cours du Catalogue Sanitaire et Social

SECTION MANAGEMENT ET GESTION, QUALITÉ ET ACCRÉDITATION/ ACCRÉDITATIONS

- Qualité des services sociaux, sanitaires et d’assistance;
- Analyse et l’étude de la qualité perçue;
- Analyse des procédures et des protocoles opérationnels;
- Planification stratégique et efficace du service;
- Autoévaluation et hétéro-évaluation du personnel et des performances;
- Amélioration de l’organisation des services d’assistance;
- Aspects Organisationnels et Économie des Organismes et des Entreprises qui travaillent dans le secteur des services sanitaires et sociaux;
- Instruments et techniques de gestion;
- Gestion des ressources économiques et financières, organisationnelles et humaines;
- Fonctions et compétences visant à la Coordination et à la Gestion;
- Étude et analyse des besoins en matière de formation : méthodologie et équipement;
- Méthodes et instruments à utiliser, de la planification à l’évaluation finale des séances de formation.

SECTION RELATIONS

- Intégration des rôles Infirmier et Opérateur Socio-Sanitaire;
- Étude de nouvelles perspectives du “prendre soin” : Human Caring”;
- Comment travailler en équipe;
- Apprentissage des techniques principales de négociation;
- Renforcement d’équipe et travail d’équipe;
- Quotient émotionnel EQ Management et Intelligence émotionnelle;
- Gestion efficace de ses propres émotions dans la relation d’aide;
- Gestion du deuil;
- Comment rendre efficace la relation entre opérateur, patient, famille et aide-soignant;
- Comment communiquer dans des situations d’urgence;
- Comment développer l’Autonomie et l’auto-soin de la personne soignée.

SECTION TECHNIQUE ET SCIENTIFIQUE

- Planification des interventions d’assistance pour les personnes âgées dépendantes;
- Planification des interventions d’assistance pour les personnes âgées qui souffrent de démence aiguë;
- Étude des procédures de contention;
- Apprentissage de l’approche et de l’assistance correctes dans une maison de retraite pour les patients atteints de troubles psychiatriques.
- Gestion efficace du patient atteint de la maladie d’Alzheimer;
- Gestion efficace du patient atteint de la maladie de Parkinson;
- Technique de Chromopuncture selon la méthode de Peter Mandel;
- Approche psychologique “physiognomiste” et lecture du corps par le langage secret du Visage et du Corps;
- Émotions et Bien-être, Couleurs et Chromothérapie;
- Utilisation de l’art, de la musique et de la dance (Art-thérapie) dans le cadre Sanitaire et Social;
- Techniques de clownerie dans le cadre Sanitaire et Social;
- Techniques des Activités motrices pour les personnes âgées;
- Prévention du processus de vieillissement par l’activité physique;
- Analyse de la thématique : Nourriture dans les maisons de retraite. Comment améliorer la qualité de vie du patient et prévenir sa hypothrepsie.

SECTION SANTÉ ET SÉCURITÉ

- Formation générale;
- Formation spécifique relative à des thématiques spécialisées;
- Analyse des Procédures et des Protocoles nécessaires pour la gestion efficace du risque chimique et biologique;
- Évaluation du stress de travail (voir également sécurité sur le travail);
- Prévention du burn-out;
- Prévention des chutes;
- Déplacement manuel de charges;
- Prévention des infections;
- Traitement et soins des escarres.

SECTION JURIDIQUE

- Analyse des Responsabilités juridiques et des obligations déontologiques;
- Analyse de la législation relative au respect de la vie privée dans le cadre sanitaire et social;
- Qu’est-ce que c’est le “Consentement éclairé”.

CERTIFICATIONS

- Cours et Certificat de “Animateur Social”;
- Cours avec délivrance du certificat de “Technicien en gestion de services”.

FORMATION PROFESSIONNELLE ET PROFESSIONALISANTE CATALOGUE DES COURS

Catalogo Corsi di Formazione Professionale e Fondi Paritetici Interprofessionali

DOMAINE PROFESSIONALISANT ET FORMATION PROFESSIONNELLE

Dans la présente section on propose quelques exemples de parcours dont le but est celui d’améliorer les compétences techniques et professionnelles des opérateurs d’ un secteur spécifique.
Sur demande on peut organiser et gérer des parcours et des cours d’autres natures utilisant comme pour les autres domaines les ressources mises à disposition par les Fonds Interprofessionnels, parmi lesquels les Bons de Formation, le Compte de Réseau ainsi que les Fonds Interprofessionnels de Formation représentant trois outils efficaces et flexibles.

COURS D’INITIATION EXCEL

L’objectif du cours est celui de donner les connaissances de base du logiciel pour son utilisation correcte. On veut mettre l’opérateur dans la condition optimale de gérer les informations et les données de l’entreprise en utilisant les nombreuses applications possibles du tableur feuille de calcul à travers son exploitation correcte.
En particulier on focalisera l’attention sur les thèmes suivants :
• Formatage des cellules et principes de logique concernant le fonctionnement du tableur feuille de calcul EXCEL
• Exploitation des formules et des fonctions de base, des filtres prédéfinis, des graphiques, des tableaux, des menus interactifs, des options et des copies, des contrôles.

COURS DE PERFECTIONNEMENT EXCEL

Le cours a un double objectif , celui de présenter la structure et le fonctionnement du logiciel ainsi que l’algorithme et la philosophie à utiliser pour l’analyse des données mise au point par le même et celui de montrer en plus les potentialités effectives du logiciel grâce à l’étude de quelques applications marchant en EXCEL et particulièrement utiles dans le domaine de l’économie et de l’entreprise.
Dans le spécifique on prendra en considération les thèmes suivants :
• Système d’informatisation de l’entreprise et tableur feuille de calcul EXCEL
• Exploitation efficace du logiciel EXCEL, niveau avancé
• Fonctions en relation aux différentes applications
• Optimisation de l’application des graphiques
• Macro et programmation
• Utilisation correcte des filtres
• Définition de fonctionnement des STRUCTURES
• Définition de mise en forme conditionnelle
• Tables PIVOT
• Importation des données et traitement des informations agrégées
• Organisation de liens entre les différentes feuilles de travail et des fichiers
• Analyse des Méthodologies et projets d’application

COURS : L’ART DE L’APERITIF

L’objectif du cours est celui d’offrir des outils pratiques pour inventer et préparer des nouveaux apéritifs grâce à l’exploitation de nouvelles techniques de création .
En particulier on développera les thèmes suivants :
• Analyse des produits à utiliser
• Conception du service
• Informations et approfondissements des cocktails
• Accord amuse-gueules et apéritif
• Décoration pour les apéritifs

COURS PACKAGING

Le parcours souhaite fournir des outils opérationnels afin que l’apprenant puisse préparer et conditionner avec désinvolture des paquets vraiment originaux pour mettre en valeur les produits en ajoutant donc un service additionnel pour la satisfaction du client.
En particulier on prendra en considération les thèmes suivants :
• Couleurs et motifs décoratifs pour les typologies différentes de papier
• Boîtes, bouteilles, revêtements , etc. : le choix de la forme du paquet
• Choix du ruban et du nœud les plus aptes selon les caractéristiques de la saison , de la couleur,…
• Matériel à utiliser en fonction du paquet

COURS : L’ART DE L’ETALAGE ET VISUAL MERCHANDISING

L’objectif du cours est celui de présenter aux participants :
• Fonctions principales de la vitrine dans le cadre d’expositions
• Connaissances indispensables pour la planification d’une vitrine de succès
• Acquisition des compétences techniques pour l’aménagement d’un point de vente
• Apprentissage des techniques principales de Visual merchandising
En particulier on approfondira les thèmes suivants :
• Vitrine : le rôle commercial
• Vitrine : décor et architecture
• Installation de la vitrine

BUREAUX DU RÉSEAU IBS À L’ÉTRANGER

DESK esteri IBS & Servizi

BUREAUX DU RÉSEAU IBS À L’ÉTRANGER- SERVICES ET OPPORTUNITÉS

Les nombreux BUREAUX offrent des Services actifs dans le pays et des Opportunités de Business, en incluant les secteurs et les types d’Entreprises capables d’obtenir d’importants bénéfices en termes d’Exportation ou d’Investissement Direct à l’Etranger sur le territoire, aussi bien pour les ressources du marché que pour d’éventuelles facilités ou bien des Fonds mis à disposition par les Organismes Locaux ou les Institutions compétentes.

BUREAUX DU RÉSEAU IBS À L’ÉTRANGER

AFRIQUE: ECOWAS-CEDEAO + ANGOLA et MAURITANIE

ECOWAS – CEDEAO: Angola, Benin, Burkina Faso, Cap Vert, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Libéria, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Sénégal, Sierra Leone, Togo
Congo, Rwanda, Zambie (analyse au cas par cas)
Ouganda

AMÉRIQUE

AMÉRIQUE DU NORD, AMÉRIQUE CENTRALE, LES CARAIBES
Canada
États-Unis, Panama
République Dominicaine

AMÉRIQUE DU SUD / PAYS D’AMÉRIQUE LATINE + ESPAGNE
Brésil, Colombie, Mexique, Pérou, Espagne
Chili

ASIE

Kazakhstan

EXTRÊME-ORIENT
Chine, Intervention en Italie des clients et opérateurs étrangers de la Chine LIEN
Corée du Sud
Japon
Singapour
Cambodge, Philippines, Hong Kong, Indonésie, Laos, Malaisie, Birmanie, Singapour, Taiwan, Thaïlande, Vietnam

EUROPE

Albanie
Allemagne
Benelux (Belgique, Luxembourg, Hollande)
EUROPE DE L’EST: Bulgarie, Pologne, Hongrie + (Missions Commerciales a l’Étranger en Bulgarie LIEN )
France + (Monte Carlo, Côte d’Azur biens immobiliers)
Malte
Espagne Îles Canaries (startup)
Ukraine (analyse au cas par cas)

MENA (Moyen-Orient & Afrique du Nord)

Algérie
Arabie Saoudite, Jordanie, Iraq, Liban, Palestine, EAU (Émirats Arabes Unis) et CCG
Israël
Libye (analyse au cas par cas)
Maroc
Tunisie

ÉLEMENTS IMPORTANTS DES MARCHÉS ÉTRANGERS 2

SERVICES POUR ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES ET INDUSTRIELLES, SOCIÉTÉS DE SERVICES, ORGANISMES

Associazioni di Categoria SERVIZI IBS

SERVICES POUR ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES ET INDUSTRIELLES, SOCIÉTÉS DE SERVICES, ORGANISMES

Nous voulons être votre Partenaire et votre point de référence en ce qui concerne l’Exportation et l’Internationalisation

FOIRES, MISSIONS ET NOUVEAUX OPÉRATEURS ÉCONOMIQUES

NEWS SUR LES FOIRES : opportunités d’intérêts pour les secteurs et les pays étrangers sur les foires;
IBS SUR LES FOIRES A VOTRE PLACE : nombre fixé de contacts commerciaux certifiés d’acheteurs, agents, distributeurs, relatifs à une foire d’intérêt grâce à nos conseillers séniors. AVANTAGE: réduction des coûts pour l’entreprise par le biais de la centralisation du service;
MISSIONS : informations concernant les missions à l’étranger et les nouveaux événements en Italie par des sujets économiques, partenaires commerciaux, acheteurs;
FONDS POUR LES MISSIONS ET LES FOIRES : pour accéder aux Fonds disponibles, veuillez-vous informer auprès des Institutions compétentes;
SUR DEMANDE, NOUVEAUTÉ, ENTRETIENS B2B, MISSIONS ET ATELIER ÉTRANGERS ORGANISÉS AD HOC : pour un nombre restreint d’entreprises dans un des territoires où IBS est le mieux implanté, organisé, entretiens B2B et évènements.

PARCOURS FORMATIONS: PRÉPARATION AUX MARCHÉS ÉTRANGERS ET CONSEILLERS SPÉCIALISÉS

Grâce aux Fonds Paritaires Interprofessionnels, parcours formation / conseils de check-up et préparation de l’entreprise à l’Exportation.
En plus des parcours de formations spécialisés pour les entreprises exportatrices et internationalisées sur différents sujet parmi lesquels:
- directeur des exportations et approche stratégique des marchés;
- thèmes juridiques: contrat de vente international, gestion de contrats internationaux, rapport d’agence et distribution, moyens de paiement, risques de non-paiement et recouvrement de créances;
- fiscalité internationale;
- douane, nouveau code des douanes communautaire, incoterms 2010 et autres thèmes;
- Commerce et financement des exportations: crédits documentaires, garanties bancaires, BPO (Bank Payment Obligation), LC et Stand By Letter of Credit, assurance du crédit, autres thèmes spécialisés;
- agenda commercial.

G֤ÉRANT DES EXPORTATIONS EN SOUS-TRAITANCE

Gérant des exportations au sein d’une entreprise pendant 6 mois- 1 an concernant des activités d’Exportation et Développement, développement des contacts avec les clients, acheteurs et partenaires commerciaux;

ACTIVITÉ DE BUSINESS DEVELOPMENT

Reconnaissance des agents, distributeurs, partenaires commerciaux, sujets économiques à l’étranger spécialisés dans les secteurs d’intérêts;

SHOWROOM

Pour un groupe d’entreprise intéressées nous pouvons faciliter la création d’un showroom collectif et un réseau de vente locale, avec du personnel local qui parle italien;

DELOCALISATION PRODUCTIVE DES PRODUITS À FAIBLE VALEUR AJOUTÉE

- Produits ou segment de production qui n’a pas de marché s’ils sont produits en Italie à des coûts de production élevés. Nous sommes en mesure d’assister les entreprises dans une décentralisation productive vers les pays UE et hors UE;
- Quelques exemples: Albanie, Bosnie Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Lettonie, Moldavie, Monténégro, Macédoine, Pologne, République Tchèque, Roumanie, Serbie, Slovaquie, Turquie, Tunisie et Hongrie;
- Outre les pratiques bureaucratiques, notre réseau de sociétés italiennes à l’étranger pourra vous guider grâce à des conseils intégrés, comptabilité du personnel, services d’assistance à l’entrepreneur et sa famille, autres demandes spécifiques.

RECONNAISSANCE DES INVESTISSEURS ET ASSISTANCE POUR LES ANALYSES DE FAISABILITÉ ET PLAN COMMERCIAL

- Nous sommes en contact avec des Investisseurs Privés qui participent à des projets à viabilité adéquate;
- Nous pouvons assister les entreprises car nous avons une idée de projet pour la convertir en un plan commercial et un plan de faisabilité à présenter aux investisseurs.

RÉSEAUX D’ENTREPRISES

Assistance à la création d’un “réseau d’entreprise” afin d’avoir une plus grande force d’approche des marchés étrangers et des avantages fiscaux prévus par la législation italienne;

BUREAU IBS ET SERVICES

IBS DESK ETRANGER

Iran PLAN D’ACTION GLOBAL COMMUN

Iran PLAN D’ACTION GLOBAL COMMUN

iran-piano-congiunto-di-azione-globale-e-partnership-economiche

IRAN – PLAN D’ACTION GLOBAL COMMUN : EST-CE QUE LA TRANSITION PACIFIQUE DE L’IRAN CRÉERA DES NOUVEAUX PARTENARIATS ÉCONOMIQUES ?

Écrit par Elisa Mariani
Traduit par Lorenzo Giusepponi
Octobre 2016

Le plan d’action global commun, signé en juillet 2015, représente le couronnement du Plan d’action conjoint, un accord préliminaire atteint en novembre 2013 entre l’Iran, les pays du Conseil de sécurité de l’ONU (Chine, Royaume-Uni, Russie, France, États-Unis), l’Allemagne et le reste de l’UE.

L’accord concerne l’utilisation du nucléaire iranien à des fins exclusivement pacifiques. Dans le cadre de cet accord, l’Iran s’engagera à ne pas fabriquer d’armes nucléaires et à accueillir positivement les mesures demandées par le Conseil de sécurité de l’ONU, tenues sous contrôle par une Commission mixte et par l’Agence internationale de l’énergie atomique, ainsi qu’à les mettre en œuvre dans le but de jouir des droits que cette utilisation comporte.
Désormais, c’est depuis 2006 que le Conseil de sécurité de l’ONU exerce une pression sur l’Iran pour l’empêcher de poursuivre ses politiques nucléaires et, en particulier, celles concernant la production d’uranium, y compris la limitation du commerce des biens dits à double usage, c’est-à-dire les biens qui peuvent être utilisés tant à des fins civils que militaires.

Après le refus de Téhéran de 2012 d’accepter la visite de la délégation ONU chargée du contrôle du site militaire de Parchin, qui a eu lieu le 20 septembre 2015, les choses ont récemment changé. En fait, en janvier 2016, l’AIEA a déclaré que le gouvernement iranien avait accepté de faire les progrès demandés en matière de nucléaire et qu’il avait commencé à les mettre en place. Téhéran est en fait en train de respecter cet accord, qui prévoit la réduction du nombre de centrifugeuses pour l’enrichissement de l’uranium de deux tiers et que ce dernier ne dépasse pas le plafond de 3,67% pour le prochaines 15 années, ainsi que la réduction des réserves d’uranium.

À ce sujet, l’Iran a tenu sa promesse de ne pas construire de nouvelles installations pour l’enrichissement de l’uranium et de transformer les installations d’Arak et de Fordo, qui jusqu’à maintenant produisaient du plutonium et de l’uranium à des fins militaires, respectivement en centres pour la création de radioisotopes à usage médical et en installations pour la recherche. Autre nouveauté est celle du consentement donné par l’Iran aux inspections régulières de la part de l’AIEA dans les sites nucléaires du pays, tels que Natanz, où ont été prises des mesures importantes pour tenir sous contrôle l’enrichissement de l’uranium, entre autres le démantèlement des centrifugeuses de nouvelle génération.

Cela a permis, le 16 janvier passé, une date qui a immédiatement gagné l’appellation de Implementation Day, de réduire les restrictions nationales et internationales sur l’importation et l’exportation de certains produits, tels que le pétrole et ses dérivés, les hydrocarbures, tous les outils qui concernent la production des ces substances et, enfin, des matières premières telles que les métaux et les diamants. Cependant, toutes les restrictions concernant la commercialisation dans le territoire iranien d’outils pour la fabrication d’armes nucléaires restent en vigueur.

L’Union Européenne, avec la visite en avril de l’haut représentant de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité Federica Mogherini, a voulu réaffirmer sa volonté de créer une étroite collaboration avec l’Iran dans les domaines d’intérêt mutuel tels que celui environnemental, économique, énergétique, migratoire et humanitaire. L’Italie contribuera également à ce projet, avec un financement de 5 milliards d’euros alloués par les services d’assurance-crédit pour les entreprises et les banques, ainsi que par la Cassa Depositi e Prestiti s.p.a., en s’assurant ainsi une position importante dans les relations avec l’Iran.

Toutefois, après l’accord de janvier, les relations diplomatiques iraniennes restent encore tendues, surtout avec les États-Unis, à cause des sanctions imposées par le gouvernement américain encore en vigueur, qui concernent le soutien militaire présumé de l’Iran aux organisations chiites au Liban, en Syrie et au Yémen et aux tests sur les missiles balistiques que l’Iran prétend avoir faits exclusivement à des fins défensives. Ces dispositions entravent les transactions financières entre les deux pays et l’Europe, vu l’importance de l’empire américain au niveau international.

Cependant, ces tensions n’ont pas empêché l’Italie de jeter les bases pour une coopération avec l’Iran de plus en plus forte, comme l’a confirmé le Business Forum Italie-Iran qui a eu lieu à Rome en janvier, et qui a vu la ratification de contrats d’une valeur de 17 milliards d’euros, ainsi que le dialogue entre les dirigeants d’entreprise des deux pays sur les opportunités commerciales en secteurs extrêmement importants tels que les infrastructures, la pétrochimie et l’industrie.

L’événement a également bénéficié de la participation du président de Confindustria (Confédération générale de l’industrie italienne), des ministres des infrastructures des deux pays et des ministres italiens du développement économique et de l’agriculture. Pour concrétiser ce projet commun, les jours 8 et 9 du février passé, une délégation composée du secrétaire des affaires étrangères, de Confindustria et des ministres Delrio e Martina, avec environ 130 entreprises italiennes s’est rendue en Iran pour développer les programmes d’investissement dans le pays pour les années à venir.

Sources :

- repubblica.it
- ilfattoquotidiano.it
- valvecampus.com
- ilsole24ore.com
- confindustriabergamo.it

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Tanzanie

LA TANZANIE – Introduction sur l’Afrique, le continent Africain et ses richesses; Fiche-Pays et Opportunités en Tanzanie

Tanzania

Dans son ensemble, l’Afrique représente un énorme puits de ressources naturelles auxquelles s’ajoutent les avantages liés à la météorologie variée qui permet d’assurer la production agricole représentative des climats tempérés. On assiste à la récolte abondante de certains produits comme les légumes, le maïs ou la vigne mais également celle des fruits typiques du climat tropical et équatorial. Complétement entouré par la mer, la situation géographique du continent africain comporte des avantages considérables pour la communication avec d’autres continents et états. La pêche, activité pratiquée partout et porteuse de résultats concrets, représente une grande ressource supplémentaire. Malgré cela, le niveau de développement des différents états du continent africain est inégal; il existe encore un nombre réduit de nations africaines capables de “dialoguer” et de rivaliser avec l’Occident. D’importants déséquilibres économiques, politiques, religieux, sanitaires et culturels ralentissent la volonté et les possibilités concrètes de développement des états et des individus. Il semblerait impossible à croire que des nations comme la Lybie, le Kenya ou l’Afrique du Sud, qui possèdent le potentiel nécessaire pour se développer, sont constamment dans des situations instables pour des raisons politiques, ethniques et religieuses.

UNE EXCEPTION: LA TANZANIE

Après avoir étudié la situation des pays francophones en Afrique (Maroc, Ghana, Guinée, Sénégal) nous avons choisi de nous tourner vers un pays anglophone: la Tanzanie.

QUELQUES INFORMATIONS

- Population: 47 millions d’habitants environ;
- Capitale: Dodoma;
- Forme de l’Etat: République Présidentielle;
- Monnaie: Shilling tanzanien;
- Langues officielles: swahili, anglais;
- PIB: 79,29 milliards USD $
- PIB par habitant: 1713 USD $
- Conditions de couverture d’assurance SACE: avec des conditions;
- La Tanzanie fait partie de l’OMC (elle est l’un des pays fondateurs);
- Elle est membre de la Communauté d’Afrique de l’Est (constituée le 30/11/1999) avec le Kenya et l’Ouganda;
- Grâce à l’ “Africa Growth and Opportunity Act” la Tanzanie dispose d’accords commerciaux et d’un traitement préférentiel pour exporter aux Etats-Unis;
- La Tanzanie adhère à la “Convention Establishing the Multilateral Investment Guarantee Agency” (MIGA), elle est de plus membre de “International Centre for the Settlement of Investment Disputes”; la Tanzanie a également signé avec l’Italie l’accord de promotion et de protection des investissements étrangers en 2001;

POINTS FORTS DE LA TANZANIE

RÉGIME PRÉSIDENTIEL ET CLIMAT DE COHABITATION PACIFIQUE

Ancienne colonie du Royaume du Commonwealth, la Tanzanie a su tirer profit de la colonisation allemande survenue après la Première Guerre Mondiale, et de la domination anglaise depuis 1964. Suite à cela, elle a proclamé son indépendance, devenant ainsi une République Présidentielle, représentée par la figure charismatique du “Père Nyerere” dont on se rappelle comme “L’Homme qui a montré le chemin à suivre”. Il a réussi à donner un exemple de fraternité et de paix, en créant les conditions nécessaires pour la cohabitation et l’harmonie entre l’Islam et le Christianisme, les deux religions majeures en Tanzanie.

CHOIX ÉCONOMIQUES ET POLIQUES POUR ATTIRER LES INVESTISSEMENTS ÉTRANGERS

Ses successeurs se sont organisés de la même manière, à l’instar du président, à qui nous pouvons attribuer le mérite d’avoir mis en place les conditions économiques et politiques dans le but de favoriser et d’augmenter l’entrée d’investissements et de capitaux étranger dans le pays. L’ensemble des investissements étrangers sur place sont réglementés par le Tanzania Investment Act de 1997, grâce au Centre d’investissements de la Tanzanie, une agence gouvernementale qui se charge d’organiser et favoriser les investissements, en aidant les entreprises et les investisseurs étrangers. Il existe également le Certificate of Incentives, qui valide officiellement le statut d’investisseur en Tanzanie. Concernant les concessions minières et pétrolières, des autorisations conformément aux dispositions du “Mining Act” de 1998 sont requises. Le capital minimum en titres financiers à investir pour des projets qui prévoient le contrôle des investisseurs à 100% est de 300.000 USD $. Il est en revanche de 100.000 USD $ pour constituer une société avec des associés majoritairement tanzaniens. Il existe différentes formes de primes et de facilités en fonction du secteur et de l’impact de l’investissement étranger sur l’économie locale.

QUELS SONT LES AVANTAGES POUR L’INVESTISSEUR ÉTRANGER

- Faisant partie de la “Multilateral Investment Guarantee Agency” et de “International Centre for Settlement of Investment Disputes” la Tanzanie reconnait totalement la propriété privée et la protection des investissements étrangers; il est de plus possible de rapatrier la totalité des bénéfices et du capital en devises à l’étranger;
- Grâce à l’institution des ZES “Zones Économiques Spéciales”, la Tanzanie dispose de facilités fiscales et productives pour les investissements, réparties dans 25 endroits du pays;
- Annulation ou réduction conséquente des droits sur les matériaux introduits dans le pays inhérents à la société constituée;
- Déduction totale des frais d’équipements, matériels, locaux et structures dans le milieu agricole;
- Délai de paiement de la TVA pour les biens immobiliers;
- Remboursement complet des DROITS sur les matières premières importées;
- Suppression de la TVA sur les produits manufacturés exportés;
- Possible déduction et traitement favorable pour la dépréciation des biens capitaux;
- Pour le secteur minier, la réévaluation annuelle des investissements en capital n’est pas récupérée;
- Les pertes dans la gestion d’une activité, peuvent être déduites dans un but fiscal également l’année suivante pour une période de 5 ans, également pour une durée indéfinie dans le secteur minier;
- Facilités et accélération des processus d’obtention de permis et d’autorisations;
- Autorisation d’avoir des expatriés dans la gestion de l’entreprise;
- Autres facilités en fonction du secteur et du type de projet.

LES SECTEURS FONDAMENTAUX EN TANZANIE

L’économie en Tanzanie s’appuie en grande partie sur la production agricole, qui constitue près de la moitié de son PIB, les zones cultivables sont cependant de 4% de la totalité des terrains à cause des conditions climatiques et de la configuration du territoire. Les principaux produits agricoles cultivés sont les suivants: thé, café, coton, pyrèthre (un insecticide naturel extrait du chrysanthème), sisal, tabac, noix de cajou, maïs, clous de girofle, blé, tapioca, bananes, fruits. L’élevage bovin et caprin représente également un secteur en développement qui occupe près de 80% de la population. La pêche au thon et aux sardines dans le but de les importer dans les eaux internes constitue un autre secteur fondamental pour le pays. L’extraction d’or, de diamants et de sel constitue un secteur en expansion, on peut trouver dans le pays des minerais de fer, charbon, tungstène, plomb, kaolins, magnésium et phosphate en faible quantité.

LE SECTEUR MINIER

Il faut signaler que le secteur minier a connu une forte croissance quasi exponentielle au cours de ces 20 dernières années, ce qui a favorisé la création de nombreuses Multinationales associées aux Small Scale Miners, un groupe constitué de petites entreprises de mineurs qui a dépassé le nombre de 2 millions d’individus. LIEN OPPORTUNITÉS POUR LES INVESTISSEURS ET LES BAILLEURS DE FONDS DANS L’EXPLOITATION MINIERE, D’OR ET DE DIAMANTS

L’INSTRUCTION
Même depuis la colonisation anglaise et allemande, les actions politiques pour le bien-être des citoyens afin de porter de l’intérêt à la scolarisation non seulement dans les grandes villes mais également dans les villages les plus reculés, ont été bénéfiques pour la Tanzanie. Des zones de faible scolarisation résistent encore mais elles disparaitront au fur et à mesure.

LA RELIGION

Généralement, lorsque l’on évoque le Moyen-Orient, l’Extrême-Orient ainsi que l’Afrique, la religion représente un sujet très délicat et reste souvent un sujet de conflit au détriment de la cohabitation pacifique.
La Tanzanie symbolise une exception unique, puisqu’elle symbolise une véritable mixité religieuse depuis son indépendance en 1964. Les catholiques et les musulmans vivent et coopèrent en parfaite harmonie, tout en respectant les indications des différents présidents qui se sont succédés à la tête du gouvernement tanzanien. Bizarrement, ce phénomène de paix est également présent dans les petits villages où les individus qui pratiquent diverses fois; même si la plupart sont musulmans, cela n’empêche guère de contribuer à la construction de lieux de cultes pour les différentes communautés religieuses.

QUELQUES POINTS FAIBLES DE LA TANZANIE

LA SANTÉ ET LES SERVICES SANITAIRES

La mortalité infantile en Tanzanie provient de la qualité de l’eau potable, dont la rareté pèse énormément sur la mortalité. La pénurie d’eau potable cause des maladies comme le typhus, les diarrhées et des maladies liées à l’appareil respiratoire. Il y a deux problèmes principaux : la carence de nourriture en quantité et en qualité, y compris l’aspect énergétique que cela apporte, ainsi que les mesures élémentaires de protection comme les moustiquaires (mosquito net) instrument basique contre les épidémies comme la malaria, la maladie du sommeil. En l’absence de remèdes, tout cela tend à rendre chronique la croissance des données statistiques sur la mortalité. Un autre problème plutôt récurrent en matière de santé, celui qui implique les mineurs locaux et la contraction de maladies très graves, comme le cancer contracté en manipulant à mains nues des minéraux aurifères qui contiennent du mercure. Considérant que les hôpitaux sont souvent présents dans les grandes villes situées très loin, l’assistance sanitaire est évidemment faible, il serait donc souhaitable que les investissements étrangers puissent contribuer à construire de nouvelles structures sur le long terme afin d’obtenir un traitement sanitaire plus efficace. Même si cela semble impossible, il faudrait au moins construire dans les principaux endroits des locaux équipés de dispensaires médicaux et de produits pharmaceutiques ainsi que de vaccins avec l’intervention d’un personnel médical et paramédical hebdomadaire.

L’EAU ET LES RESSOURSES HYDRIQUES

Pour chaque communauté et village, l’eau représente une ressource précieuse et vitale pour la survie et les activités d’investissements directs étrangers.
Il est par conséquent fondamental d’intervenir en créant des dépôts naturels stables permanents, en agissant pour la potabilisation de l’eau et en construisant des puits artésiens, afin de répondre aux besoins en constante augmentation. Les conditions atmosphériques favorables permettant les récoltes au cours de l’année justifient également la création de système d’irrigation à proximité des lacs et/ou des fleuves.

L’ALIMENTATION ET LA DISTRIBUTION ALIMENTAIRE EN TANZANIE

Ces dix dernières années, les chefs de familles nourrissent une inquiétude quotidienne quant au fait d’alimenter leurs familles, malgré l’activité professionnelle mal payé et l’habitude de dépenser la majeure partie de leur salaire en alcool et autres boissons. Il serait souhaitable que les investisseurs étrangers augmentent les salaires pour les individus qui le méritent et faire de la prévention concernant l’alcool, en rassurant les employés de pouvoir obtenir ce dont ils ont besoin pour nourrir leurs familles. Construire des points de ravitaillement dans les villages (des épiceries par exemple), afin de permettre aux habitants de s’approvisionner en denrées alimentaires comme la farine de maïs, de blé, le riz, le lait, les légumes et les boissons sans alcool. Cela permettrait de rassurer les employés et leur donnerait la possibilité de subvenir aux besoins de leurs familles.

La Tanzanie pour les investisseurs et bailleurs de fonds: concessions minières d’or et diamants

La Tanzanie pour les investisseurs et bailleurs de fonds: concessions minières d’or et diamants

Tanzania investitori finanziatori miniere d'oro, giacimenti auriferi, concessioni aurifere, concessione aurifera

Tanzanie: opportunités dans le secteur MINIER pour les investisseurs et bailleurs de fonds Internationaux; mines d’or, gisements aurifères, concessions aurifères, diamants

OBJECTIF

On cherche des investisseurs / bailleurs de fonds internationaux pour un projet aurifère en Tanzanie. Des annexes et documents détaillés relatifs au Business Plan complet ainsi que des analyses de faisabilité sont disponibles, si précédé de la souscription NDA (NON-DISCLOSURE AGREEMENT). En Tanzanie, on reporte également la disponibilité de concessions dans une zone de 45 km2 possédant des gisements de diamants, les informations ne sont cependant pas disponibles et il est demandé de se créditer en qualité d’interlocuteur fiable grâce à l’onglet CONTACTS

LIEN FICHE SUR LA TANZANIE

PROJET AURIFÈRE EN TANZANIE

CRÉATION

La société qui souhaite se constituer sera immatriculée en Tanzanie, dans le but d’entreprendre un projet aurifère dans les villages de Matinje et Kilabili situés dans le District Igunga des Régions Tabora et Shinyanga. L’installation sera effectuée à proximité du village de Matinje – Kilabili dans la zone couverte de la PML qui sera achetée ou louée par la société en voie de constitution.

L’appareillage minier comprend:

- Installation de traitement + Concentrateur Knelson + Add. Ball M. + Laboratoire Chimique;
- Camion(s) grue(s) (10 tonnes) et remorque à benne basculante;
- Auto(s) 4×4 + Van pour le transport des employés;
- Chargeurs sur pneus + Pelles mécaniques;
- Transpalettes + appareillage + appareils;
- Citernes pour stockage diesel;
- N°10 kit de mécanisation: marteaux pneumatiques, compresseurs, équipement respiratoires, monte charges, pompes à eau, générateurs portables, 2 kit de sécurité;
- N°10 Citerne stockage de l’eau;
- Camions miniers (20 tonnes);
- Générateurs de 200 KW équipés de panneaux de commande;
- Foreuse;
- Grue capacité 15/20 t;
- Matériel technique et de géologie pour la santé, sécurité, environnement.

Ce projet générera un revenu pour les producteurs ainsi que pour les résidents des zones concernées. Cela relancera l’économie du village en créant des postes de travail et le renforcement du commerce, lié aux activités minières. Les services techniques, les études géologiques, géophysiques, géochimiques, le relevé, les forages, la programmation de l’extraction, la gestion de la sécurité, de l’environnement et de la santé seront assurés exclusivement par la société en voie de création.

L’environnement sera géré de façon durable grâce à un plan qui respecte absolument la gestion environnementale et utilisera, contrairement aux multinationales qui utilisent du cyanure, l’infiltration par l’iode, un procédé plus convenable et respectueux de l’environnement. Le projet aura des retombées économiques et sociales élevées.

POSSIBLES LIGNES D’ACTION DU PROJET

Le projet est de saisir une opportunité de business et d’investissement, les procédures et les objectifs pour le développement du projet concernent 3 modalités possibles, qui peuvent également être combinées:

OPTION 1 – EXPLOITATION “FINANCIÈRE”

L’exploitation financière des gisements aurifères choisis, de propriété, s’effectue grâce à des études géologiques, relevés par satellite et zones, prospections successives et prélèvements d’échantillons analysés en laboratoire et à la rédaction finale d’un Report des Ressources par des Sociétés Spécialisées ( S.G.S Suisse, OMAC Irlande du Nord etc. ) donc l’émission de Certificats prévus à cet effet qui peuvent être délivrés en présence des lignes de crédit pour les gestions financières sur les plateformes. Les délais prévus pour l’obtention des Certificats sont d’environ 10 – 12 mois si les liquidités sont prêtes; la participation minimum de frais pour l’investissement est égale à près de trois millions d’euros.
Les Certificats peuvent également être insérés en tant que Bourse Minière donc mise en vente pour des investisseurs potentiels et générer des retours élevés sur l’investissement effectué.

OPTION 2 – EXTRAIRE LE MINÉRAL

Outre l’exploitation financière, les Certificats offrent à l’investisseur l’opportunité d’extraire, d’estimer et de commercialiser le matériel aurifère, grâce à des forages underground et des captages verticaux équipés de kit de mécanisation (y compris l’extraction open-pit ou à ciel ouvert).
Au cas où l’investisseur serait intéressé par l’extraction, le projet prévoit un investissement supplémentaire de près 3 millions d’euros, avec des délais de mise en œuvre d’environ 10-12 mois si les liquidités sont prêtes.
Une installation de traitement par iode annule les risques du système alternatif au cyanure, utilisé en général par les grosses sociétés qui opèrent dans le secteur, qui prévoit la cyanuration et l’usage du mercure, des matériaux extrêmement toxiques qui provoquent des maladies graves et nuisent à l’environnement.

OPTION 3 – EXPLOITER LES CONCESSIONS DÉJÀ ANALYSÉES

Cette troisième option permettrait d’exploiter immédiatement les concessions déjà “analysées” grâce à des capteurs verticaux ouverts et des veines aurifères déjà couvertes, et confiées précédemment à des mineurs locaux car nous pouvions acheter ces concessions, ou bien adhérer à une participation en JV Joint-Venture, dans laquelle il sera reconnu à la société en voie de constitution au moins 90-95% de sa valeur, en fonction de l’investissement financier apporté au projet.
Quelle que soit l’option choisie, les délais et les retours effectifs attendus sont concrets et brefs car le produit est payé à la livraison suite à un contrôle; la capitalisation du capital investit rapporte des avantages très rapidement.

DONN֤ÉES SUPPLÉMENTAIRES À PROPOS DU PROJET MINIER

ELASTICITÉ DE L’INVESTISSEMENT

Le déroulement de la procédure offre la possibilité de programmer aussi bien l’investissement en soi (études géologiques, recherches etc.) avec l’obtention des Certificats et la “mobilisation” de ces dernier par gestion financières sur plateformes que le “début” de l’excavation, traitement et commercialisation du produit, c’est-à-dire que l’on peut décider de limiter l’investissement aux Certificats, ou encore de l’associer au milieu minier extractif.

DURÉE DE L’INVESTISSEMENT

Bien que le secteur minier puisse engendrer l’idée de long terme en ce qui concerne les délais, dans le projet, la “capitalisation du temps” programme en vérité qu’une durée maximum de 5 ans est prévue pour l’investissement total, avec la possibilité de le réduire à 3 ans.
Cela sera possible en concentrant les actifs au maximum, en réalisant des hausses de la production et des profits, ce qui permettra la réduction des délais.

VIABILITÉ DE L’INVESTISSEMENT

La viabilité de l’investissement offre des résultats espérés en plus d’avoir pour objet les meilleurs produits garantis et assurés des transactions internationales et mondiales.

RAPIDITÉ DE RÉALISATION DES PROFITS

Capitalisation rapide des profits, en réduisant “la vacatio legis” entre le support des coûts et la réalisation des produits. Dans l’actuel système de mondialisation, cet avantage réduit les risques des transactions.

OBTENTION DE MEILLEURS RÉSULTATS PAR RAPPORT AUX PRÉVISIONS

Dans l’Étude de Faisabilité effectuée, instrument déterminant de sensibilisation à l’investissement, les valeurs de référence prisent en considération sont d’une importance primordiale, toujours basées sur le principe d’évaluation prudentielle en respectant les profits estimés, dans le respect de la déontologie professionnelle consolidée en rédigeant le Business Plan.

DIVERSIFICATION ET RISQUES DE L’INVESTISSEMENT

La diversification est prévue dans l’extension de l’Étude de Faisabilité et aussi comme stratégie “en cours de réalisation”.

SAVOIR-FAIRE ET COMPÉTENCES

L’entreprise italienne offre:

- la disponibilité de multiples concessions (n. 32 par ha. 41,8) et de liste sélectionnée de concessions supplémentaires à vérifier pour en acquérir les meilleures;
- savoir-faire de longue date qui permettra d’accélérer la phase bureaucratique présente également en Afrique en écourtant considérablement les délais, afin d’être rapidement opérationnel; start up productif et financier en l’espace de quelques mois, en surpassant les obstacles qui demanderaient des années;
- rapports d’estimation consolidés par des professionnels du secteur minier: Ingénieurs miniers, Géologues du Ministère et Professionnels Libres de la capital Dar es Salaam;
- importante considération du Geological Survey of Tanzania, qui représente la première Institution nationale pour élaborer les Études géologiques. Importante considération également de l’ensemble des collaborateurs Géologiques, Techniques etc.
- rapport privilégié avec l’Organisme Régional du Ministère des Mines de la Région de Shinyanga qui représente 90% du secteur minier national et compte parmi les principales Multinationales du secteur (Golden Pride, Barrick, Geita, Anglogold, Kahama etc.);
- rapport privilégié avec le responsable général et Principal Geologist of Ministry, disposé à collaborer dans le projet, avec une énorme accréditation en terme de professionnalité et de capacité;
- application de technologies industrielles innovatrices grâce aux toutes dernières installations à iode, qui favorise le déplacement facile des installations lorsque nécessaire et l’attention de l’aspect humanitaire de l’investissement, pour les conditions de santé des opérateur et pour le retour économique / social des « small scale miners » (mineurs des villages);
- garantie de professionnalité et présence perpétuelle de 8 collaborateurs de confiance.

1. primary crusher - foto impianto di frantumazione
2. secondary crusher - foto impianto polverizzazione -  mills
3. foto polverizzazione e prima miscelazione
4. foto vasche di decantazione con agitatori
5. foto inizio del filtraggio del materiale aurifero
6. foto filtrazione finale
7. foto procedimento di osmosi inversa
8. foto collegamenti

DOWNLOAD PHOTOS MINEURS DES VILLAGES

DOWNLOAD TANZANIA COMMENTAIRES SUR LES PHOTOS MINEURS DES VILLAGES

FICHE SUR LA TUNISIE

FICHE SUR LA TUNISIE

Tunisia Scheda Paese

INFORMATIONS GÉNERALES

- Nom Officiel: Tunisie;
- Superficie: 163.610 km2;
- Population: 10.480.934 millions d’habitants, force de travail: 17,7% ;
- PIB: 45.407 millions $
- PIB par habitant: 4.213 $
- Croissance du PIB espérée: plus de 3,3% ;
- Capitale: Tunis, 2 millions d’habitants environ;
- Autres villes: Hammamet, Sousse et Tabarka sont d’importantes villes touristiques au bord de la mer, Sfax (deuxième ville et centre économique), Qayrawan (Kairouan), la ville sainte, Tozeur, Gabès, Bizerte, dernière ville avant le désert, Douz (aussi appelée “la Porte du Sahara”);
- Gouvernement: République présidentielle;
- Religions: Musulmane, minorités catholiques et juives;
- Langues: Arabe, français (parlé par près de 63% de la population);
- Monnaie: Dinar tunisien.

CADRE POLITIQUE

CHANGEMENTS ET POINTS POSITIFS

- Changements politiques et Révolution pour le maintien des conditions de stabilité;
- Réformes économiques et politiques;
- Ouverture économique qui favorise les investisseurs étrangers;
- Position stratégique considérable grâce à sa situation géographique, porte d’entrée pour l’Afrique et “zéro conflits avec les pays voisins”;
- Actions pour intensifier et diversifier les relations externes;

CRITIQUES ET POINTS NÉGATIFS

- Démocratie toujours “en progrès”;
- Faible risque d’attentats.

CADRE MACROÉCONOMIQUE et PERSPECTIVES

CRITERES GÉNÉRAUX

La Tunisie a connu par le passé une économie dynamique, ce qui a permis le développement d’importantes structures productives et actives notamment dans le secteur tertiaire. Les secteurs du commerce et du tourisme sont actuellement les fers de lance d’une économie fragile.
L’agriculture et la transformation des produits agricoles, l’artisanat, l’extraction et l’exploitation des minéraux (pétrole, plomb, argent, zinc et mercure) sont d’ autres secteurs importants pour l’économie tunisienne.

Autres critères importants à signaler:

- Signature du traité de libre-échange avec l’Union Européenne paraphé en 1995.
- 6% d’inflation environ;
- Le rapport entre le volume de commerce à l’étranger et le PIB (Produit Intérieur Brut) est équivalent à 49,5% environ; la Tunisie est tout de même bien intégrée dans le système de commerce international.

Il faut tout de même signaler que l’économie tunisienne dépend fortement de ses échanges avec d’autres pays. D’après le rapport mondial sur la compétitivité du forum de Davos, le pays est très bien classé en matière de compétitivité (sur 133 pays développés / émergents, la Tunisie est 40° en ce qui concerne la compétitivité globale et 35° en termes de qualité des infrastructures); tandis que le rapport Index of Economic Freedom, place la Tunisie en 95° position sur 179 pays à l’échelle mondiale et en 12° position parmi les 17 pays du Moyen Orient et de l’Afrique du Nord, avec un indice de liberté économique “moins libre”.

De plus, en devenant membre du G.A.T.T, la Tunisie a entrepris la libéralisation du commerce étranger en 1990. Les échanges commerciaux internationaux sont jusqu’à présent régis par la loi 94-41 en date du 07/03/1994.

La TUNISIE est d’ailleurs signataire de nombreux accords commerciaux bilatéraux et multilatéraux qui contribuent fortement au renforcement de sa position et de son adhésion dans le cadre international et régional, en particulier:

• Accord bilatéral qui institue une zone de libre-échange avec la Turquie;
• Accord de libre-échange d’Agadir signé et souscrit entre la Jordanie, l’Egypte, le Maroc et la TUNISIE en 2014;
• Accords bilatéraux avec la Lybie et l’Iraq et accords parafés avec les pays du Golfe qui instituent une zone de libre-échange.
La TUNISIE est également membre CIRDI et a adhéré en 2012 à la Déclaration de l’OCDE et les Décisions sur l’investissement international et les entreprises multinationales.

POINTS FORTS

- Stabilité, pays attractif d’un point de vue économique;
- Développement des réformes structurelles;
- Indicateurs économiques fondamentaux solides;
- Situation géographique stratégique;
- Accès à de nombreux marchés et diversification grâce à différents accords bilatéraux avec de nombreux États africains;
- Marché interne en croissance et population jeune;
- Secteur touristique toujours en expansion.

POINTS FAIBLES

- Démocratie récente;
- Dépendance accentuée par les flux de capitaux étrangers et par la confiance des investisseurs étrangers;
- Dépend de l’approvisionnement énergétique étranger;
- Déficit de la balance courante;
- Corruption.

SECTEURS EN EXPANSION

- Habillement / Textile;
- Sidérurgie;
- Automobile;
- Bancaire;
- Gros oeuvre;
- Transports aériens et maritimes;
- Environnement et Écologie;
- Ressources et Énergies renouvelables;
- Formation du Personnel;
- Tourisme;
- Artisanat;
- Agriculture.

COSTRUCTIONS ET IMMOBILIER

Le secteur du bâtiment et les constructions représentent l’un des moteurs fondamental de l’économie tunisienne. Il existe près de 20.000 entreprises appartenant à ce domaine, ce qui représente un chiffre d’affaires de 3.000 millions d’ € / an environ.

Ce montant représente près de 10 % du volume monétaire circulant dans le pays et contribue à environ 7% du PIB. C’est pourquoi le secteur du bâtiment est situé en quatrième position dans les secteurs importants de l’économie nationale tunisienne (juste derrière le secteur du textile/habillement, agroalimentaire et agricole). Cependant, le ciment reste le produit le plus exporté.

SECTEUR FINANCIER

Depuis 1995, suite à la signature de l’Accord d’Association avec l’UE (en vigueur depuis 1998), l’ouverture de l’économie au commerce étranger a progressivement augmenté afin de préparer le pays à son entrée définitive dans la zone de libre-échange avec l’Union Européenne qui a été achevée début 2008 concernant les produits industriels.

La Tunisie a entrepris une série de réformes structurelles importantes dans le but d’améliorer la compétitivité de son économie, de récompenser les initiatives privées, d’accorder plus de confiance au commerce et enfin de moderniser son système financier et bancaire.

La coopération italienne permet de soutenir depuis quelques années déjà l’équilibre de la balance de paiement; un programme de crédit de 95 millions € est actif depuis 2012 jusqu’à son épuisement.

Malgré les faibles progrès obtenus en matière de réformes pour le redressement des banques de développement ainsi que pour la promulgation de lois contre le blanchiment d’argent, le système financier tunisien ne correspond pas encore complétement aux attentes des investisseurs en ce qui concerne l’absence de concurrence et d’innovation.

De plus, la Banque Centrale de Tunisie s’est montré flexible sur le plan du cadre des règlements, ce qui permet aux entreprises de crédit de bénéficier d’une plus grande élasticité en termes de classification des prêts à risques, en injectant constamment des liquidités dans le système financier.

Cette politique a par conséquent généré un rapport de dépendance de refinancement de la Banque Centrale pour de nombreux instituts bancaires. Les crédits considérés « à risque » représentaient officiellement près de 13% du portefeuille de prêts des établissements de crédit.

Avec plus d’une vingtaine d’organismes de crédit qui présentent des activités totales équivalentes à 100% du PIB pour une population inférieure à 11 millions d’habitants, le système bancaire semble donc très fragmenté.

En Tunisie, l’État contrôle près de 40% du secteur, avec des effets nuisibles sur la productivité, l’efficacité en général et l’adoption de processus et de structures novatrices.

L’augmentation du déficit constitue un facteur à risque pour l’économie tunisienne. Elle est non seulement due à l’augmentation des intérêts de la dette publique qui ne cesse de croitre, mais également aux politiques de “pacification” des Gouvernements provisoires qui font favorisé la hausse du salaire minimum, la création de nombreux postes de travail dans le secteur public, les coûts pour les indemnisations après la crise et le maintien du prix des produits de première nécessité.

Le dinar tunisien a été dévalué de 12% en 2013. Cette baisse de valeur de la monnaie tunisienne est due notamment aux déséquilibres entre l’offre (affaiblie à cause de la crise des plus grandes compagnies exportatrices) et la demande de liquidités en devises étrangères (accrue par l’augmentation des importations).

À court et moyen termes, les variables cruciales pour le développement de l’économie tunisienne restent le rétablissement de la stabilité sociale et politique ainsi que des conditions de sécurité adéquates. La voie de sortie de la fragilité persistante des marchés étrangers par les exportations tunisiennes et la relance de la conjoncture devront obligatoirement être fondées sur les principales composantes de la demande interne, en d’autres termes la consommation des ménages et les investissements.

La consommation subit une influence négative, en plus des perspectives de salaires incertaines, s’ajoute la disponibilité inférieure de crédit du système bancaire.
L’État est engagé dans l’adoption d’interventions nécessaires pour renforcer le système bancaire. Les principaux aspects critiques concernent la faible qualité des actifs et les niveaux limités de capitalisation, notamment l’adaptation des banques publiques.

La stratégie de consolider les banques publiques prévoit de créer un Asset Management Company (AMC) qui a pour but d’englober les prêts non productifs du secteur. L’AMC sera opérationnelle pour une période de neuf ans mais nous ignorons si elle s’occupera de l’ensemble des NPL ou uniquement des prêts non productifs inhérents au secteur du tourisme.

ÉNERGÉTIQUE

Après une série d’accords bilatéraux dont celui passé avec l’Union Européenne, la Tunisie peut être considérée comme une excellente base d’accès pour toute l’Afrique du Nord; le Centre Méditerranéen des Énergies Renouvelables (MEDREC) IMET basé à Tunis, peut également être considéré comme une excellente base pour les contacts et les informations concernant le secteur des énergies renouvelables dans le Maghreb tout entier.

Le Maghreb possède en effet un fort potentiel pour le développement des énergies renouvelables, notamment pour le solaire et le vent. Nous attendons une forte augmentation de leur utilisation au cours des années à venir.

Dans le cadre d’accord bilatéraux entre l’entreprise IMET et la Tunisie, les projets inhérents aux énergies renouvelables font actuellement partie du MEDREP. À l’avenir, les projets auront pour but de distribuer de l’électricité aux populations rurales encore isolées, à travers un réseau électrique à échelle réduite. La finalité est de poursuivre une intégration, importante et accélérée, des sources d’énergies renouvelables sur le réseau électrique national en se fixant l’objectif d’atteindre un équilibre entre l’offre et la demande sur le réseau.

L’idée principale est de diriger l’approche globale de l’introduction des énergies renouvelables (les énergies solaire et géothermique en particulier) dans le secteur du bâtiment tout en respectant des normes en vigueur en matière de rendement énergétique; les résultats du MEDA programme concernant la diffusion des technologies solaires thermiques dans le secteur du bâtiment seront intégrées.

De plus, il faudrait se centrer sur le dessalement de l’eau, dans le but d’augmenter les réserves d’eau potable et la disponibilité des ressources en eau destinées à l’irrigation. Augmenter l’usage de pompes alimentées par l’énergie solaire, éolienne et biomasse dans l’agriculture.

Enfin, la diffusion des systèmes de réfrigération pour conserver les aliments, systèmes alimentés par des énergies renouvelables et prédisposés en produits de ferme et poissonnerie; il s’agit de favoriser, sur le réseau urbain, l’utilisation de systèmes solaires pour les particuliers, l’installation de petites turbines éoliennes, ou de technologies énergétiques alimentées par le biogaz et la biomasse;

SECTEUR SANITAIRE ET INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE

L’amélioration progressive des conditions économiques et sociales, même si elle s’effectue à un rythme en dents de scie avec certaines limites concernant l’accès aux services de base pour toute la population, ainsi qu’un intérêt grandissant pour le thème de la santé, représentent certains facteurs stimulants pour le marché médical, sanitaire et pharmaceutique, au sein duquel les principales entreprises multinationales du secteur œuvrent depuis longtemps.

Le gouvernement tunisien est actuellement en train de développer les structures sanitaires et les hôpitaux, prolongeant même les horaires d’ouverture des services entre autre. La production industrielle de produits pharmaceutiques tunisiens concerne près d’une cinquantaine d’entreprises, un total de cinq mille employés environ. La production est centrée sur les produits pharmaceutiques aux propriétés thérapeutiques ou de prophylaxie, ce qui englobe 45% des produits génériques.

La production tunisienne de produits pharmaceutiques regroupe près de la moitié des besoins nationaux réels. Pour compenser la production nationale, la Tunisie doit importer des produits pharmaceutiques de France (ce qui représente 44% des importations), d’Allemagne, de Suisse et d’Italie (6% de la production totale), pour une importation de près de 550 millions de dinars tunisiens (environ 270 millions d’euro), avec un taux de croissance moyen avoisinant les 10% par an.

L’importation des 98% des produits pharmaceutiques représentent des produits à but thérapeutique. Les exportations tunisiennes, qui correspondent à près de 15 millions d’euros, sont destinées dans 60% des cas au marché nord-africain, en partie au marché européen (France, Belgique, Suisse) et un faible pourcentage destiné aux autres pays africains. Les évolutions récentes concernent le développement d’un accord de coopération entre le gouvernement tunisien et la compagnie britannique “Hygiene Worldwide” établi dans le but de distribuer au service sanitaire national du liquide bactéricide « Genie » sans alcool afin de respecter les règles du Coran.

SERVICES

Le secteur des télécommunications et de l’IT (Information Technology), appartenant au secteur des services, a été encouragé et a reçu le soutien financier des autorités du gouvernement, dans le but de faire de la Tunisie une plaque tournante capable de relier le continent africain, le Moyen-Orient et l’Europe grâce à sa position stratégique dans le bassin méditerranéen.

Le commerce représente le deuxième secteur important, derrière le tourisme qui représente un secteur fondamental pour l’avenir du pays malgré la baisse constatée après la révolution de 2011. Les processus toujours partiels de libéralisation et privatisation des secteurs bancaire et financier constituent un obstacle à l’attraction de nouveaux capitaux étrangers et à l’amélioration de l’accès au crédit des entreprises, malgré cela, quelques améliorations ont tout de même été constatées.

INDUSTRIE TEXTILE

Le textile et l’habillement constituent un secteur qui occupe près de 35% de la production tunisienne globale. Il attire des investissements dans le secteur de la manufacture équivalent à 15% de la production totale. Près de 90% des entreprises tunisienne de l’industrie textile intervient dans le secteur de l’habillement, en priorité dans la fabrication et la bonneterie.

Des milliers d’entreprises travaillent dans cette branche, parmi lesquelles deux milles entreprises emploient dix ressources humaines ou plus. La partie plus importante et significative de ces entreprises, ce qui constitue 83% environ, est totalement orientées vers l’exportation. Un volume d’entreprise équivalent à 41% de l’industrie manufacturière.

La Tunisie est un gros producteur de vêtements pour le compte de tiers, grâce à sa main d’œuvre bon marché et notamment en vertu de sa position stratégique et centrale dans le bassin méditerranéen, située à proximité d’un vaste et riche marché d’acheteurs potentiels. Pour justifier sa prédisposition à l’exportation et l’importance de l’industrie du textile pour la conjoncture socio-économique du pays, il faut savoir que les personnes employées dans des entreprises comptant plus de 10 employés sont au nombre de 200.000 environ et 178.000 employés travaillent dans des entreprises totalement dédiées à l’exportation, tandis que 17.000 personnes travaillent dans des entreprises ayant une vocation partielle à l’exportation.

Près de 2/3 des entreprises à capital étranger, représentent des entreprises qui appartiennent complétement à des personnes étrangères. Parmi ces entreprises, près de 350 bénéficient d’une participation de capital de la France, 240 de l’Italie, 82 de l’Allemagne et 120 de la Belgique.

La division et répartition des pays qui investissent dans l’industrie du textile en Tunisie reflètent en partie les relations économiques et politiques du pays. En 2010, avant la manifestation des événements liés à la “Révolution tunisienne” qui ont de plus ralenti les principaux secteurs de l’économie tunisienne, l’exportation du secteur textile vers le plus important marché tunisien, en d’autres termes l’Union Européenne, a atteint le chiffre de 2,3 milliards d’euros. Même avec sa population inférieure, la Tunisie se dispute avec le Maroc la position de 5ème fournisseur de l’Union Européenne derrière la Chine, la Turquie, l’Inde et le Bengladesh. Les principaux clients européens de la Tunisie sont la France (36%), l’Italie (32%) et l’Allemagne en troisième position (10%).

AGROALIMENTAIRE

Le secteur agroalimentaire reste un secteur clé en Tunisie. Près de 1000 entreprises tunisiennes appartiennent à ce secteur, dont 18% sont consacrées complétement à l’exportation. Esiste contrariamente all’industria tessile una significativa propensione nazionale alla produzione agricola ed alla trasformazione di prodotti e generi alimentari per il consumo interno. Il numero di addetti nelle aziende del comparto che hanno più di 10 dipendenti è di circa 70.000 unità.

Une des caractéristiques importante du secteur, c’est que plus de 11% des entreprises du secteur agricole et de la transformation des produits alimentaires possèdent une participation de capitaux étrangers et seulement 2,8% de l’ensemble des entreprises possède une participation étrangère complète. Ce qui est frappant dans ces données, c’est le fait que l’Italie à elle seule représente 40% des participations étrangères dans le secteur, elle est suivie par la France avec 35% des participations. Comme c’est également le cas pour d’autres secteurs du pays, la proximité territoriale avec l’Italie constitue non seulement un avantage mais également une limite en termes de concurrence pour les entreprises italiennes.
Les modalités qui permettent d’entrer sur le marché de l’agroalimentaire peuvent être diverses, toutefois, les deux plus importantes sont liées d’une part à l’acquisition d’entreprises locales et à la participation d’entreprises déjà actives d’autre part. Actuellement, l’état du secteur agroalimentaire ne permet pas une expansion horizontale avec l’acquisition de parts significatives du marché, mais plutôt l’insertion de domaines de spécialisation dans les entreprises, notamment dans le domaine de la transformation et la mécanisation des processus de production. Cela signifie qu’il existe de nombreux projets d’investissement dans le secteur agroalimentaire et certains d’entre eux peut rapporter jusqu’à 2 millions d’euros. Il faut cependant mettre en évidence que la proximité territoriale, les excellentes relations commerciales, politiques et culturelles entre l’Italie et la Tunisie pourraient obliger de nombreuses entreprises à contribuer à la modernisation de l’industrie tunisienne grâce à l’augmentation constante de l’introduction d’équipements haute technologie pour transformer, conserver et conditionner les produits.

La branche industrielle tunisienne compte 2 579 entreprises totalement exportatrices sur les 5 638 entreprises ayant un personnel égal ou supérieur à 10

Secteur TE* ATE* Total %

Industries agroalimentaires 199 846 1 045 18,5%
Industries matériel de construction, céramique, verre 19 433 452 8,0%
Industries mécaniques, metallurgiques 193 451 644 11,4%
Industries électriques, électroniques et électroménagers 244 128 372 6,6%
Industries chimiques 132 429 561 10,0%
Industries du textile et de l’habillement 1 501 287 1 788 31,7%
Industries du bois, liège et du meuble 24 182 206 3,7%
Industries du cuir et de la chaussure 191 68 259 4,6%
Industries diverses 76 235 311 5,5%
Totale 2 579 3 059 5 638 100%

*: TE: Aziende totalmente esportatrice,(entreprises totalement exportatrices)
ATE: Altre da totalmente esportatrici.(autres entreprises)
(Source: Agence de Promotion de l’Industrie et de l’Innovation – Décembre 2014)

TYPE DE SOCIÉTÉS

Approfondissement sur la procédure de constitution d’une société en Tunisie.

Le Code de commerce tunisien prévoit l’existence de 6 types d’entreprises différents :

- S.A – Société Anonyme;
- S.A.R.L. – Société à Responsabilité Limitée;
- S.U.A.R.L. – Société Unipersonnelle à Responsabilité Limitée;
- S.N.C – Société en Nom Collectif;
- S.C.S – Société en Commandité Simple;
- S.C.A. – Société en Commandité par Actions.

Les types de sociétés les plus répandues et communes en Tunisie sont les suivantes: la Société Anonyme (S.A.), la Société à Responsabilité Limitée (S.A.R.L.) et la Société Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (S.U.A.R.L.); ces sociétés sont réglementée par des législations qui présentent des similitudes avec les législations en vigueur en Europe, notamment avec la structure française.

Concernant les sociétés qui autorisent une participation étrangères, le Code des Investissements tunisien incite à la création de :

- Filiales d’entreprises étrangères: pour constituer une filiale, il est nécessaire de produire et de remettre aux autorités la copie authentique des statuts de la société ou des actes constitutifs équivalents, avec l’adresse de l’entreprise ou du siège social en annexe;

- Partenariats: il n’y a pas de limite concernant le nombre de partenaires; chaque partenaire doit cependant répondre et est responsable des dettes générées par l’entreprise. La loi ne prévoit pas la révision des comptes et n’impose pas non plus la publication des bilans;

- Coentreprises: cette forme de présence est soutenue par les agences gouvernementales, les coentreprises peuvent aussi bien être constituées en tant que partenariat contractuel qu’en tant que société de capital. La loi tunisienne régit la plupart des activités commerciales, et les coentreprises peuvent être constituées après avoir présenté une demande prévue à cet effet, et après avoir obtenu l’attestation de dépôt de déclaration, délivrée par les Autorités suivantes:

- A.P.I.I. – Agence de Promotion de l’Industrie et de l’Innovation, pour l’ensemble des activités industrielles et pour les services inhérents à l’industrie;
- CEPEX – Centre de Promotion des Exportations, pour les projets inhérents au Commerce International;
- A.P.I.A. – Agence de Promotion des Investissements Agricoles, pour les projets du secteur agricole, agroalimentaire et de la pêche;
- O.N.T.T. – Office Nationale du Tourisme Tunisien, pour les projets du domaine touristique et para-touristique;
- O.N.A.T. – Office Nationale de l’Artisanat Tunisien, pour les activités artisanales.

PRIMES ET FACILITÉS

La loi tunisienne numéro 93-120 établit les régimes de primes relatifs aux investissements des entrepreneurs en Tunisie, qu’ils soient tunisiens ou étrangers, résidents ou non, également en cas de coentreprise. Les coentreprises sont encouragées par les agences gouvernementales et peuvent être aussi bien constituée sous forme de partenariat contractuel que de société de capital.

Il faut de plus rappeler que le système fiscal tunisien a fait l’objet d’une réforme significative et que la Convention pour éviter les doubles impositions fiscales en termes d’impôts sur le revenu dans le but de prévenir les évasions fiscales a été signée et souscrite, par le bais d’un protocole additionnel, entre la République italienne et la République tunisienne à Tunis le 16 mai 1979. Le protocole additionnel est entré en vigueur le 17 septembre 1981.

La convention sur la Double Imposition Fiscale s’applique aux personnes résidant dans l’un ou les états contractants (l’Italie et la Tunisie) et s’applique également aux impôts sur le revenu, que l’on estime prélevés pour le compte de chacun des États contractant, à travers ses divisions politiques ou administratives et par le biais de ses collectivités locales, quel que soit le système de prélèvement appliqué.

Sont également considérés comme impôts sur le revenu les impôts appliqués sur le revenu total ou sur les éléments de ce dernier, y compris les impôts découlant de revenus provenant de la cession de biens meubles et immeubles, les impôts sur le montant total des salaires payés aux entreprises, même s’il s’agit d’impôts prélevés sur les plus-values. Il est intéressant de mettre en évidence les primes pour les sociétés totalement exportatrices.

Les sociétés totalement exportatrices sont celles qui:

- exportent la totalité de leur production;
- réalisent des prestations de services à l’étranger ou en Tunisie avec l’intention de les utiliser à l’étranger;
- travaillent exclusivement avec les entreprises, les zones franches ou les instituts financier non-résidents;

Les entreprises classées totalement exportatrice bénéficient d’un régime équivalent à celui dont bénéficient les zones franches, sauf en cas de limites de décrets à suivre en 2015.

Sur le fond, les primes maximums consistent à l’exonération totale des impôts sur le revenu et des bénéfices générés au cours des dix premières années d’activité de l’entreprise ainsi qu’une réduction d’au moins 50% pour les années qui suivent sous réserve du minimum d’impôt.
Prolongation de la période de validité de la déduction totale des revenus et bénéfices découlant des exportations.
Allègements fiscaux sur les revenus et sur les bénéfices réalisés sur le capital de départ ou pour son augmentation sous réserve du minimum d’impôt.

Allègements fiscaux sur les bénéfices réinvestis dans la société sous réserve du minimum d’impôt.

Possibilité et liberté d’importer les biens nécessaires à la production de l’entreprise en franchise totale de droits et taxes.

Exonération totale des droits d’immatriculation et de la TVA sur les activités de l’entreprise.

Possibilité de réaliser jusqu’à 30% du chiffre d’affaire sur le marché local.

Possibilité d’engager jusqu’à quatre employés ou des ouvriers tunisiens.

ACCORDS COMMERCIAUX

- Conventions bilatérales et accords commerciaux en vigueur conclus avec 41 pays;
- Accords pour les zones de libre-échange conclus avec 11 pays;
- Conventions multilatérales conclues avec 50 pays.

PAYS BÉNÉFICIANT DES ACCORDS DE LIBRE-ÉCHANGE

- Accord bilatéral qui instaure la zone de libre-échange avec la Turquie;
- Convention de libre-échange d’Agadir entre la Jordanie, l’Égypte, le Maroc et la TUNISIE signé en 2004;
- Accords bilatéraux signés avec la Lybie et l’Iraq ainsi que d’autres accords paraphés avec les pays du Golfe qui instaurent une zone de libre-échange;
- Convention Multilatérale de la Ligue Arabe;
- Accord arabo-méditerranéen de libre-échange;
- Accord de libre-échange entre la Tunisie et l’UE.

DÉFENSE ET JUSTICE

En Tunisie, le système judiciaire est basé sur le droit français.
La Constitution de 2014, particulièrement avancée est confrontée aux normes de la région, elle est le fruit de la médiation entre les exigences du constitutionalisme démocratique et les instances des partis d’inspiration islamique au sein de l’Assemblée constituante.
Les structures judiciaires présentes en Tunisie sont les suivantes:
- 1 Cour de Cassation;
- 10 Cours d’Appel;
- 23 Tribunaux de première instance;
- 83 Tribunaux Cantonaux.

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